Je l'ai fait !

La course a eu lieu il y a deux jours et je ne peux pas attendre plus longtemps pour faire au moins un petit bilan.

Pour commencer, et c'est l'essentiel : JE L'AI FAIT ... et dans les temps espérés (3h30'00). Et pourtant, je dois avouer que je ne pensais pas que ce serait jouable tant je cumulais les boulets. Un petit résumé des moments importants.

• un mal de gorge me contrarie les deux jours d'avant : ce sera donc soin intensif à base de miel ;
• Venise ne se vivant pas à l’hôtel, de longues marches en long et en large dans Venise animent le vendredi et le samedi, si bien que je me suis endormi comme un bébé la veille de la course ;
• un dernier repas "vendu" par un ristorante italiano comme étant spécial marathonien ...et pan ! une escalope de poulet, un peu de riz (j'ai dû en redemander car je croyais qu'il pensait que j'étais un enfant) et des légumes, un micro bout de gateau (risible par la taille) et un verre de jus de fruit ... pour 21 euros ;
• un réveil pas trop en forme et un petit mal de bide (j'ai compensé le repas trop léger par des compléments alimentaires ... un peu trop sans doute) ;
• dès le début de la course j'ai ressenti des toutes petites douleurs aux jambes ... rien de terrible mais çà fait cogiter car il reste du chemin ;
• arrêt "popo" à 8 km avec mon foutu bide en essoreuse 1000 tours ... et heureusement après çà a été (par contre, plus rien ne poussera à cet endroit après mon passage :-) )
• à partir de cet instant, je me suis dit : c'est possible car malgré l'arrêt, j'étais dans le rythme des "lièvres" et même en avance sur l'objectif. Il fallait juste tenir, tout étant désormais dans ma tête ;
• à l'amorce de Mestre, début des difficultés avec les premiers faux plats (et même des longues bosses). Aïe, çà pique ! On verrouille encore d'un cran le petit cerveau et çà passe tout juste. Mince, on est encore à plus de 12 bornes ... mais je suis en avance ;
• on passe le pont entre Mestre et Venise. C'est au bout ... mais que c'est loin. En plus, on attaque par une pente pour rejoindre le pont et ensuite, on prend du vent. Et Venise ne se rapproche pas encore assez vite ;
• j'ai de plus en plus mal aux jambes (plus de 2h30 de course) et je sens que je ralentis un peu. Pas maintenant ! Petite motivation supplémentaire pour ne pas avoir de regrets : je m'accroche et reviens sur les lièvres. Et je suis encore dans un bon temps. Je suis "presque" sûr que je vais y arriver ;
• çà y est, on arrive à Venise ... et çà monte encore (rrrrrrh) puis çà redescend (mais là çà fait mal aussi car çà tape). Il reste environ 4 Km et 14 ponts à passer ("adoucis" par des passerelles) ;
• allez, il ne faut rien lâcher. J'ai perdu 20 mètres sur les lièvres ... et c'est l'alerte : 2ème pont et un début de crampe à gauche. Noooooooon ;
• Hors de question de ne pas finir. Je continue et je tape du talon gauche sur le sol pour aider à faire passer la douleur. Par miracle, çà tient. Mais du coup, je ralentis car je ne veux pas tout gâcher ;
• Les lièvres s'éloignent un peu et je tente de garder la distance ;
• j'enchaîne les ponts totalement dans ma bulle pour aller jusqu'au bout. Il y a beaucoup de monde et çà aide. La place St Marc marque le 41ème km, c'est gagné ... même si je dois finir en rampant ;
• les derniers ponts, l'avant dernier où je vois Sophie, puis le dernier et les 100 derniers mètres : pile 3h30, c'est pas beau çà !

La ligne passée, j'ai été remercier les lièvres qui nous ont été d'une remarquable aide ... puis j'ai commencé à ressentir toutes mes douleurs.

Encore un pont pour retrouver Sophie et manger 3 assiettes de pâtes. Je suis explosé, je tremble de partout. J'ai vraiment tout donné. Je suis content car j'ai un peu (beaucoup)  manqué ma préparation (petite entorse, pas toujours le temps à cause du boulot et de la fatigue) et je fais quand même le temps espéré. Je ferai (je l'espère) un bon marathon de Paris.

Je mettrai des photos sous peu (j'attends celles de l'organisation). Voici celle de mes préparatifs

 

A bientôt

veille de course : une chose est sure, çà va être dur.

Et si en plus il faisait beau

Préparation tronquée, forme perfectible, dernière semaine speed au boulot ... mais une belle météo pour vendredi, samedi et dimanche à Venise :

	mer. 19 Averses 66º F / 18º C 49º F / 9º C jeu. 20 Pluie 64º F / 17º C 43º F / 6º C ven. 21 Plutôt ensoleillé 64º F / 17º C 43º F / 6º C sam. 22 Plutôt ensoleillé 69º F / 20º C 43º F / 6º C dim. 23 Ensoleillé 69º F / 20º C 47º F / 8º C

On ne va pas se plaindre ...

Encore un petit effort

Encore quelques sorties ces derniers jours pour finir la préparation (tronquée) ... et çà s'est plutôt bien passé.

Bon rythme, bonnes sensations, cardio OK, petites douleurs mais rien de bien méchant. Il faut blinder le moral car un marathon se court aussi avec la tête et les sensations (dont celles que l'on cherche à ressentir, et avec un petit moral, on trouve fatalement les moindres petites douleurs insupportables).

Je prends le lundi pour me reposer et je termine le programme sur le sol français. Ensuite ce sera le départ.

Je vais aussi me concentrer sur la nourriture de la dernière semaine : ce n'est pas le moment de faire du Quick midi et soir. On va se mettre à l'heure italienne.

A suivre.

Entre doutes et euphorie à J-10

Après l'épisode malheureux de la cheville douloureuse (7 jours d'arrêt d'entrainement), j'ai repris doucement (30 minutes) puis un peu plus pendant 5jours  (sortie quotidienne de 40 minutes à 1h30 max à vitesse de croisière, voire moins si j'étais en groupe) et enfin ce matin j'ai fait un essai plus long : sortie de 2h.


Les doutes étaient nombreux (je guettais la douleur, la fatigue, le cardio) mais finalement je m'en suis bien sorti. J'ai passé le semi en pile 1h45 et j'ai exactement 24 km sur les 2h.

Je suis donc agréablement surpris de cette forme malgré une préparation plus tronquée. Pendant que je courais, j'ai même eu des phases euphoriques pendant lesquelles je sentais que j'en avais sous la semelle.



Prudence néanmoins car un marathon, ce n'est pas 24 km. Il en reste derrière, et pas qu'un peu. Disons que je suis un peu plus optimiste et que l'état de fraîcheur après 2h (cardio moyen à 148) me rassure.

Mon objectif est à la limite de mes capacités du moment (3h30) mais si je suis les meneurs d'allure et si je gère la repos de la veille et les phases d'alimentation, çà peut passer. Et si çà ne fonctionne pas, je n'aurai pas de regret car j'aurai fait de mon mieux avec les conditions particulières déjà évoquées.


Il me reste une grosse semaine et je dois maintenant réfléchir à la gestion de cette phase finale. Je vais sans doute trottiner demain, tout doux pendant 45 minutes. Puis faire une dernière séance de fractionné samedi. Puis un footing léger dimanche de 1h.

Repos lundi.
Et je termine par le programme :

Mardi	Footing 40' en endurance fondamentale VARIATION D'ALLURE EN NATURE : 10 x 30'' Intensité : 100 % VMA Récupération entre chaque répétition :: 30'' Trot Retour au calme : 10' en endurance fondamentale Etirements	...
Mercredi	Footing 60' en endurance fondamentale faire les 10 dernières minutes à l'allure de course recherchée sur marathon + Etirements	...
Samedi	Footing 30' en endurance fondamentale + Lignes droites + Etirements	...
Dimanche	COMPETITION : Echauffement : 20' endurance fondamentale + Etirements + 4 à 5 accélérations de 10 à 15'' COURSE : Retour au calme : 10' endurance fondamentale + Etirements

Faut se reprendre

Pfiouuuuu, mais quelle éternité depuis le dernier article. Une antiquité pour être clair

Je vais utiliser tous les jokers d'un coup : pas le temps (facile), trop de travail (OK, çà passe), des courses (bon je valide pour le Paris Versailles de la semaine passée et l'organisation de La Folie Chanteloup ce week end), un petite entorse vendredi (mince, la tuile)  ...

Wahou ! çà fait quand même lourd pour un seul coureur. Et tout çà à moins de 3 semaines de la course Va falloir se retaper vite fait et mettre la gomme.

Demain : repos forcé un dernier jour pour la cheville et ensuite on y retourne. Si çà coince un peu, on s'adapte et on passe en mode VTT (sur chemin Maxi) en version longue distance (pour faire du cardio).

Dans la semaine : rappel des principaux évènements passés (entrainement, sensation, résultat)

Voilà.

A plus et un seul mot d'ordre : persévérance.

Plus c'est proche, plus c'est dur !

Plus le temps d'écrire sur le blog mais plus le temps non plus de suivre strictement le programme : çà craint !

Je suis dans la phase de stress où les objectifs deviennent à la fois précis et flous, c'est selon.

Précis : il faut que je fasse des km et que je respecte certaines phases du programme.

Flou : suis-je et surtout serai-je prêt dans un mois ?


Je ferai un bilan dans le week end de la nouvelle semaine passée, avec en point d'orgue la participation à Paris Versailles pour me faire un petit plaisir sans forcé sur le chrono.

Fin de la seconde semaine, début de la troisième ...

Par crainte d'une accumulation de fatigue trop importante, j'ai réduit la seconde semaine à 4 séances. Il faut savoir aussi s'écouter pour ne pas se fragiliser bêtement.
J'ai donc fait une belle séance de fractionné sur le week end plutôt qu'une sortie longue et un fractionné.

Malgré le repos, j'en ai bavé un peu quand même en faisant des séries de 8' 8' à 95% de la VMA.

Le lendemain (lundi) j'ai fait une heure de footing à 12 km/h. Je suis plutôt en forme car je ne peine pas.

Aujourd'hui, je fais le break et je reprends demain.

Un entrainement prenant

En choisissant 5 séances hebdomadaires sur les 8 semaines qui précèdent le marathon, j'ai fait le pari de l'organisation et de l'adaptation aux conditions imprévisibles du coureur qui travaille, a des enfants et fait accessoirement autre chose que courir de temps en temps.

Jusqu'ici (presque la fin de la seconde semaine), çà passe mais c'est déjà juste car ce vendredi matin, je suis à ... 2 séances.

Je vais donc aller au boulot en courant et en revenir ce soir (pas de triche, je n'en compterai qu'une :-) ).

Demain matin, un petit fractionné et dimanche une sortie longue et le tour sera joué. Mais quand même, ce n'est pas simple.

Sinon, mon fractionné d'avant hier était très sympa : 20 minutes d'échauffement puis 4 belles périodes d'efforts entrecoupées de 4 minutes de trot. Avec une belle piste aéronautique déserte et un vent favorable, j'ai fait les 5, 8, 8 et 5 km à très bon rythme (supérieur à 15 km/h).
A suivre sans vent et avec un peu de relief.

Ce matin, c'est tranquille ... et d'ailleurs j'y vais.

Et c'est parti !

Aujourd'hui commence officiellement le programme de mon entrainement pour le marathon de Venise (8 semaines à raison de 4 à 5 séances par semaine).

La sortie du jour a été douce avec 15 km en 1h35 avec le club. Les hostilités commencent vraiment dans la semaine avec quelques fractionnés de mise en conditions ...

Au rayon des bilans, la semaine passée a été honorable avec 3 sorties d'une heure chacune à une vitesse de 12,5 à 13 km/h. Et pour varier les plaisirs, j'ai ajouté un peu de vélo pendant 50 minutes à bon rythme  (>30 Km/h sur le plat et 25 km/h de moyenne à la fin).

J'espère que je ne vais pas me blesser pour ne pas avoir fait tout çà pour rien ...

Mes Zastuces : gestion des envies pressantes

Un des ennemis du marathonien est "le besoin pressant et incontournable" d'aller se soulager. Personne ou presque n'y échappe, pour la bonne et simple raison que lors des dernières heures, une grande quantité d'eau est absorbée et que le dernier repas spécifique remonte à environ 6heures ... Et comme le marathon va durer "un peu", il falloir à un moment gérer !

Il est évident que l'égalité homme femme ne s'appliquera jamais dans ce domaine car il est beaucoup plus facile pour le prétendu sexe fort de faire une pause. Désolé !

Néanmoins, pour les uns comme pour les autres, il faut s'y préparer : anticiper, planifier, optimiser.




Anticiper tout d'abord en prenant toutes (je dis bien toutes !) les occasions de se "détendre" avant le départ. Le plus évident est de faire la queue aux cabines généralement mises en place par les organisateurs. Il y a du monde mais peu importe. Ne stressez pas à l'idée de vous mettre tardivement dans les starting-blocks : vous avez (normalement sur un grand marathon) une puce au pied et peu importe que vous soyez devant ou non, le chrono ne démarrera pas tant que vous n'aurez pas franchi la ligne. Autant privilégier le confort et se soulager.






Pour les hommes, il y a également une solution bien connue des coureurs : la bouteille de lait. Ouverture large pour les stressés maladroits, contenance suffisante, opacité du contenant pour ne pas se taper la honte, facilement manipulable sous le poncho/sac poubelle du départ (discrétion !) ... Un must ! Je l'ai déjà expérimenté 2 fois et ce fut un vrai plus.





Mais tout ceci ne fonctionne que pour une "petite envie". Si c'est plus "grave" : la cabine s'impose !


Planifier et optimiser pendant la course un éventuel arrêt. Si vous connaissez le parcours, ce sera évidemment plus simple, sinon, prenez le temps de regarder un plan ... et sachez à peu près où se trouve les zones favorables (cabines WC sur le parcours, bois, ...). Cela enlèvera une partie du stress lorsque l'envie montera en flèche et que vous vous poserez la question : quand vais-je pouvoir m'arrêter ? Et là, à cogiter et à se rajouter une petite douleur, le marathon devient tout de suite plus dur.
Sur Paris, j'ai repéré mes premières pauses possibles et je fais en sorte de m'y arrêter quoi qu'il advienne car je sais que l'endroit est favorable ... alors que plus tard, ce ne le sera pas forcément. C'est du temps de gagner.
Au fait, prévoyez un ou deux mouchoirs dans votre tenue ou ceinture porte-bidons ... çà peut servir.

Pour la petite histoire, lors de mon premier marathon de Paris, j'étais en petite souffrance intestinale et je voyais mal comment m'en sortir en pleine ville sans les cabines. Puis le parcours s'est "verdi" avec des espaces plus propices à un arrêt. Sauf que beaucoup de monde s'y arrête aussi. Finalement, j'ai décidé de m'arrêter quelles que soient les conditions et ... j'ai partagé un bosquet avec une coureuse. Moment étrange de gêne et de soulagement en même temps. Mémorable !
Et la course a repris dans de bien meilleures conditions et j'ai fini en 3h30 comme prévu.
Atteindre ses objectifs tient parfois à pas grand chose...

Premier gros bilan

Voilà maintenant un peu moins de 2 mois et demi que j'ai ouvert ce blog et je propose de faire un petit ... non un GROS bilan de ce tout ce que j'ai entrepris depuis le 5 juin 2011.

Mon bilan sportif est le suivant : 269 km parcourus et 267 km de VTT (marrant de voir que c'est très proche !).
C'est un peu en dessous de mes espérances mais cela reste tout de même acceptable pour bâtir un petit socle d'endurance. Il faudra être sérieux sur les 8 semaines de préparation.

Mon bilan de blogueur est le suivant : plus de 50 publications, deux échecs pour me faire enregistrer chez Ad Sense, près de 1000 lectures, un blog en devenir ...

Pour ce qui est d'Ad Sense, Google encaisse plus facilement l'argent qu'il ne le distribue. C'est comme çà.
On leur génère du flux (même modeste) et ensuite, sans avertissement ni seconde chance, tout grain de sable leur est favorable : il garde les gains (exemple : attention aux clics jugés incohérents sur les pubs car c'est un motif de rejet ... maintenant, si vous voulez priver un blog de revenus , vous cliquez 10 fois sur une pub et hop, c'est fini pour lui !).
Je cherche une autre régie.

Je pense sérieusement à créer un site plus tard mais il faudra le préparer longtemps en amont pour qu'il soit prêt et abouti lors du lancement. A suivre peut être.

Bonne prochaine lecture et un petit encouragement pour le marathon de Venise ne nuisant pas, je me ferai un plaisir de remercier tous ceux qui m'en enverront un.

Sportivement.

Le voyage pour Venise est bouclé

Alors que la phase d'entrainement spécifique pour le Marathon de Venise va débuter prochainement, tous les préparatifs du voyage sont bouclés : voyage aller et retour et hotel.

En effet, j'ai validé le voyage aller la semaine passée : train wagon lit (pour 2) à 280 euros tout de même. Départ le jeudi soir et arrivée le vendredi matin à 500 m de l'hotel.

Pouvait-on trouver moins cher et plus rapide (Easyjet) ? Oui ! Sauf que les horaires étaient incompatibles de nos plannings donc on a dû composer avec nos contraintes et tant pis pour les 80 à 100 euros de plus.

Ce n'est pas si grave.

A suivre.

La montée en puissance

Cette semaine aura marqué un tournant dans la préparation car le temps presse désormais pour capitaliser avec les 8 semaines de travail spécifique avant le marathon de Venise.

Malgré la reprise du travail, j'ai fait l'effort de courir, même quelques km pour gagner encore un peu de foncier.

Résultat, une bonne fatigue saine et 47 km (sans compter le footing léger de ce dimanche soir d'environ 7 km, pour dérouler.

Il faut dire que le programme axé sur une durée de 3h30 est sensé débuter le 28 août ... soit dans à peine 3 semaines. il ne faudra pas forcer d'ici là mais pas mollir non plus.

L'échéance approchant, ce devrait être motivant.

A suivre

Petite semaine et reprise du boulot

La semaine passée n'aura pas été très profitable pour mon entrainement : une seule sortie en courant et un peu de VTT.

Rien de bien méchant mais il va falloir reprendre sérieusement la marche en avant.

A part çà, je reprends le boulot ce lundi. Je vais donc, en fonction des possibilités et de la météo, y aller et en revenir en courant ou en VTT, voire courir le midi.

Finalement, je vais peut être faire plus de sport en ayant repris le travail !

A suivre

Présentation du parcours du marathon de Venise

Une chose est sûre, Venise ne présente pas le marathon le plus abouti de la planète. il suffit de voir les informations mises à disposition par les organisateurs pour s'en convaincre : pas d'interactivité, peu d'éléments, un plan moyen, un parcours renseigné au rabais.

Voici le lien officiel : http://www.venicemarathon.it/

Cela n'a rien à voir avec Paris par exemple (ici) et c'est une preuve que la bonne volonté ne suffit pas pour faire une grande course : il faut des moyens et une structure expérimentée derrière. J'en saurai évidemment plus après et je ne manquerai pas de faire un petit bilan.

Pour revenir aux informations que je cherche en ce moment, j'ai du mal à trouver le lieu exact de l'expo où sont retirés les dossards, je ne sais pas si une pasta party est organisée (j'en doute maintenant même si je trouve que 75 euros d'inscription sans même ce moment traditionnel des marathons, c'est un peu fort). Je verrai sur place car en arrivant le vendredi matin, j'ai un peu de marge.

Enfin, le parcours est sans doute le plus intéressant de ce marathon car une partie (seulement bien sûr) se court à Venise (la fin de course) même et le reste est sur le continent.

Vous trouverez ici le tracé (déposé par un coureur selon moi, ce qui est sympa). Vous serez placé sur le départ et il faut dé-zoomer et se déplacer pour voir le tracé. En jouant avec google (map, earth, ...), on peut voir des photos, des vidéos, ...

A suivre

Et si on revenait du marathon de Venise en avion ?

Alors que le trajet aller n'est pas encore complètement validé (sans doute avec le SNCF mais je dois vérifier que je ne bénéficie pas d'une petite réduction pour alléger la facture de 280 euros pour 2 ... mais avec une nuit en couchette en cabine de 2), j'ai réservé le vol de retour.

Après un marathon je l'espère "raisonnablement épuisant", nous profiterons du lundi pour finir les visites et nous rentrerons mardi matin par vol direct sur Easyjet.

Le prix de base est très attractif (34 euros en arrondissant). En payant avec une visa Premier on évite les frais d'assurance mais on paie une surtaxe d'une dizaine d'euros à cause de cette carte (donc il ne faut absolument pas prendre l'assurance sinon on se paie deux surcoûts pour le prix d'un). Pour éviter de voyager séparé, j'ai ajouté l'option speedboarding (environ 10 euros par personnes) et on sera prioritaire dans l'avion. Enfin, question bagages, nous avons opté pour les valises de cabine : çà devrait passer ... sinon ce sera la surtaxe de plus de 20 euros.

Bref, le total ne fait quand même pas beaucoup car la note s'élève à environ 105 euros. C'est très acceptable et on atterrit à Orly (contrairement à Ryanair qui envoie tout le monde à Beauvais :ce n'est pas cher mais faut aimer faire des bornes après être posé). Pas de journal ni de boisson ni repas. Pas grave pour 1h30 de vol.

Voilà, une bonne chose de faite. Reste le train de l'aller à réserver ... et accessoirement quelques km d'entrainement à parcourir pour réussir le voyage.

A suivre

Bilan hebdomadaire

Avec les 12 km de ce soir, courus en 57:26, je totalise 40 km cette semaine, auxquels je dois ajouter un peu de VTT avec Kevin et une journée bien physique à Disney.

Ce n'est pas si mal que çà.

Mieux, je sens de bonnes sensations et je me dis qu'avec de l'endurance ... Mais bon, pour être honnête, avec des si, je pense que le marathon serait jouable en moins de 3h15 ... sauf que je sais que c'est très exigeant de se préparer à un tel objectif.

Donc, retour sur Terre et tant mieux si je peux courir correctement en ce moment.

Du rythme !

Ce soir, malgré la pluie menaçante, je suis sorti faire quelques km.

J'ai tout de suite pris un bon rythme et je l'ai tenu sur la distance.

Au final, j'ai réussi à boucler les 15 km en 1h12, ce qui est plutôt encourageant.

Cette semaine aura été assez "faible" en entrainement car la dernière séance remontait à lundi. Bon, il faut dire aussi que mercredi, une sortie familiale à Disney pourrait facilement compter parmi les bons moments de renforcement musculaire (j'ai porté régulièrement les enfants, j'ai couru d'une attraction à une autre pour valider les fastpass (= coupe file), ...). De 10h à 23h, çà fait les muscles !

Je vais tout faire pour ajouter encore au moins 10 km demain ... à voir !

On ne dormira pas sous les ponts de Venise

Hier, je me suis occupé de la réservation de l’hôtel pour le marathon de Venise. Ce sera le villa Costanza à Mestre, juste en face de Venise.

Pour avoir chercher dans les forums le meilleur rapport qualité/prix, j'ai déniché le site Tripadvisor qui classe les hotels en fonction des avis clients. Sur la quantité, on peut accorder une certaine confiance aux résultats (que j'ai croisés avec d'autres sites et çà coïncide)

Au bilan, sur Venise même, tout était réservé ou hors de pris, tandis que sur Mestre (à 10 minutes), l’hôtel n°1 était disponible. Pas d'hésitation possible.

Les éléments de Tripadvisor ici
et l’hôtel a évidemment son propre site ici

Pour 4 nuits, le budget sera de 340 euros (car j'ai aussi trouvé une réduction sur le net). Cela fera plus d'argent à mettre dans les restaurants et les visites.

Concernant les aller et retour, je pense que nous prendrons le train à l'aller (wagon lit, budget 2x140 euros) et EasyJet au retour (avec les options, je suis sur un budget de 150 euros pour un vol dans la matinée).

A suivre ...

Reprise d'appuis

Après une semaine de vélo, terminée par un dimanche de natation (tout doux quand même, sur 500 m puis barbotage avec les enfants, car ce n'est pas mon milieu favori), je me suis remis sur la phase de préparation pédestre. Rien de bien étonnant ...


Ce soir, j'ai fait près de 13,5 Km en 1h01 ce qui représente un bon rythme. Il va falloir maintenant ralentir et allonger les distances.

A suivre ...

Le 4 ème des Zessentiel : le porte-bidon(s)

Courir pendant plusieurs heures nécessite une préparation physique adaptée et une bonne aptitude à supporter l'effort. L'entrainement aura réalisé la plus grande partie du travail mais il restera l'essentiel : aller au bout de ce marathon.

L'alimentation aura été soignée et prise comme il faut (dernière prise environ 6 heures avant le départ) et, mis à part quelques gels ou compléments ultimes, il faudra ensuite gérer la boisson.

Tant qu'on ne court pas, c'est relativement simple. On peut aisément porter sa bouteille jusque dans la zone de départ, la boire régulièrement et la jeter quand le coup de pistolet aura été donné.
Ensuite, ce sera plus compliqué.

Les ravitaillements sont normalement espacés de 5 Km, soit toutes les 25 minutes dans mon cas puisque je cours à 12 km/h.
Or, il est recommandé de boire très régulièrement (la sensation de soif arrive quand le mal est fait ... alors autant boire peu mais souvent). La course va être longue et les ravitaillements un peu mouvementé. Autant ne pas se stresser et prendre un peu d'avance.


Pour cela, il est conseillé de prendre sur soi quelques petites bidons, voire un gros. Les modèles sont nombreux et par forcément très chers. On peut même optimiser le porte-bidons en veillant à prendre un modèle qui permettra aussi l'emport de gels (et petit plus : la clé de voiture, le téléphone, ... que sais-je, chacun voit selon ses besoins).

Je ne recommande pas le Camelbak car c'est un peu lourd et cela fait encore plus transpirer ... mais bon, pourquoi pas néanmoins car pour la peine, on part avec une sacrée quantité d'eau !



J'ai personnellement une version 4 bidons de chez Decath et je remplis au fur et à mesure les bidons vides aux ravitaillements. Ce n'est pas du temps perdu car je sais que je perdrai plus de temps à la fin si je n'ai pas assez bu.

Pour information, en 2006, alors que la chaleur était importante, les organisateurs du marathon de Paris n'avaient pas pris assez de bouteilles et après le 35ème km, nous n'avons eu droit qu'à une petite bouteille par personne. Ce fut à la fois une honte compte tenu du prestige et du prix de la course ... mais aussi une galère physique pour terminer. Et c'est à cette occasion que j'ai compris que je devais bien remplir mes bidons au fur et à mesure. On ne m'aura pas deux fois.

Venise : on ne va pas y aller en courant tout de même.

Petit détail qui n'en est pas un : je ne me suis pas encore occupé du voyage pour rejoindre la destination de mon futur marathon. Venise, ce n'est pas à côté tout de même.


Je me suis rendu ce jour dans une agence SNCF où j'ai été reçu par un "brave" gars en forme qui me parlait comme à un couillon et qu'il a fallu calmer rapidement ...

Une fois revenu sur terre, le spationaute a eu la politesse de nous donner quelques pistes ... mais hélas, pas de concret car pour la SNCF, octobre c'est trop loin pour avoir des données fiables. Joli !

Reste que je connais le prix maintenant pour une nuit de train (aller puis idem sur le retour) à partir de Paris, sur la base de 2 personnes en wagon lit : 140 euros par personne. Total = 660 euros. Euh, çà calme là !

Un moment, j'ai cru que j'avais réservé sur le concorde. Mais non, c'est bien un train. Mais attention, le petit déjeuner est offert. On est rassuré.

Du coup, j'ai regardé pour les avions. Avec Air France, on peut avoir un aller/retour pour 2 pour moins de 400 euros.

Je vais creuser cette affaire ...

Peu d'écriture mais beaucoup de VTT

Je suis dans ma phase VTT ... ce qui pourrait paraître un peu étonnant pour se préparer à un marathon. Certes mais, d'une part il y a encore du temps, et d'autre part je profite du beau temps et des parcours sympathiques de la région (bois de Cheptainville par exemple).

Et puis, que ceux qui ne pensent pas que le VTT est un bon travail physique enfourche leur vélo et viennent faire un petit tour. Ils seront vite rassurés sur le travail foncier que cela procure.

Petit bilan des 7 derniers jours : 4 sorties dont une en club de 55 km et 3 en famille de 21 à 25 Km chacune. Pour pimenter le travail lors des sorties familles, et malgré les parcours vallonnés et techniques, je signale que je "promène" mon coach de 2 ans derrière moi. Cela rend vite humble quand on se sent en forme.

Voilà pour le point de situation. Sinon, je pense migrer sur un nouveau blog pour redonner un peu de peps à celui-ci. Je vous le signalerai en temps utiles.

Coup de mou sur les articles

Oulaaaa ! Rien de posté depuis lundi dernier, c'est le début de la crise. Allez, on fait le bilan quand même.

Il a fait chaud en début de semaine, cela n'a échappé à personne. Donc, il a fallu s'adapter et faire avec.

Mardi, je suis allé en VTT au boulot ... c'est léger mais çà entretient un minimum les efforts.

Mercredi, j'y suis allé en courant et j'ai allongé la distance (pour faire 10 Km). Le soir, Sophie est venue me chercher et je suis allé faire les soldes (çà détend).

Jeudi : repos

Vendredi, j'ai fait VTT puis footing de 35 minutes et le soir, j'ai allongé le retour en VTT.

Samedi : un footing léger de 30 minutes à Cravant (repérage de la future course nature).

Dimanche : repos.

Ce ne sera pas une semaine mémorable d'entrainement mais çà pourrait être pire.

Chaud chaud chaud !

Aujourd'hui, c'est le grand retour de la chaleur : 35 °C l'après midi, pas un filet d'air.

Pas un temps à courir. Tout juste un petit aller et retour maison/boulot en vélo. Sinon, le moins que l'on puisse dire c'est qu'il fait trop chaud.

Demain, je tente un départ tôt pour aller au boulot en vélo, puis je trottine à la fraiche et je rentre le soir en vélo.

A voir, mais çà se tente !

Une fin de semaine soutenue

Alors que le début de semaine semblait présager d'une bonne dynamique, un mardi au Bourget (7 heures de bouchon aller et retour) et un mercredi de travail acharné ont eu raison de mes bonnes dispositions.

A un moment je me suis dit que seules les vacances allaient pouvoir changer çà.

Heureusement le jeudi a été plus "sportif" mais le vendredi est vite redevenu vide de toute activité en short/running.




Le week end s'annonçait pas mieux avec l'anniversaire de Kevin le samedi et à la limite une sortie dimanche.




Et puis, il y a eu une opportunité samedi en fin d'après midi (environ 45 minutes et entre 8 et 9 km) et surtout une belle sortie VTT dimanche (environ 42 km, tiens une distance de marathon).

J'en profite pour présenter mon vélo : un Lapierre XC 210.


Finalement, je m'en sors pas mal et la marche en avant se poursuit.


La semaine prochaine sera la dernière avant les vacances. Il faudra tenir un minimum sur le programme. A suivre

Séance d'aguerrisement

Hier, lundi, j'ai fait une sortie malgré la pluie et le vent.

Pourtant, la tentation est grande, dans ce genre de circonstances, de faire du vélo elliptique, à l'abri, avec un petit film à regarder en même temps.

Mais il faut quand même de temps en temps y aller, pour s'habituer à diverses situations et renforcer le moral, l'endurcir, l'aguerrir.

Un petit effort sur l'équipement (étanche et respirant, casquette pour voir avec les lunettes), une séance de l'ordre de 45 minutes et c'est parti. Et je l'ai fait (8,7 Km).

Pas de quoi jouer les héros pour autant, mais on voit moins de monde, étonnamment, quand il fait ce genre de temps ...

La voie du progrès

Sortie d'1h25 aujourd'hui, avec quelques courageux du club (1h avec eux et 25 minutes seul).

Les sensations sont bonnes (passée la phase de l'échauffement, toujours un peu délicate ... sans doute les effets de l'âge !!!) et je me dis qu'avec une certaine rigueur dans mes séances, çà devrait rapidement payer.

La semaine qui vient s'annonce difficile toutefois, en termes d'organisation et de durée des entrainements. Avec le Bourget qui commence et des dernières retouches à des dossiers au travail, cela va être serré.

Mais bon, c'est finalement comme toujours, donc çà passera !

Au fait, bilan de la semaine : 3 sorties (39 km) et 2 séances de vélo elliptique. Je peux encore faire mieux ... mais je suis sur la voie du progrès.

L'elliptique, c'est fantastique !

Sur les deux derniers jours, j'ai continué le travail d'amélioration (progressive) de mon endurance : 1 sortie d'une heure en footing et une séance de vélo elliptique.

La sortie extérieure a été l'occasion de juger de ma forme puisque j'ai refait le même parcours que quelques jours plus tôt (sans montre donc sans référence) et de voir au final si je grignote un peu de temps (à sensations équivalentes). Et c'est bien le cas : sur un parcours de 12 km, j'ai fait une petite heure sans forcer (malgré un léger vent de face par moment).

Hier, j'avais programmé une séance d'une heure le midi mais hélas, le boulot a été trop prenant et il m'a fallu me reconfigurer. Je suis parti sur une séance en fin de journée avec mes coachs cyclistes ... sauf qu'il a plu.
Au bilan, j'ai travaillé sur le vélo elliptique pendant une heure pour faire un effort plus complet, dans des conditions plus confortables.

Ce sera pour moi, je pense, la bouée de sauvetage de tous les entraînements annulés, reportés, ... Quelle que soit l'heure, la météo, ... le vélo elliptique sera toujours là pour me permettre de ne pas casser le rythme.
Cela me rappelle mon second marathon car une grande partie de ma préparation avait été faite de la sorte.

Il n'y a pas à dire, l'elliptique, c'est fantastique

Un peu de renfort musculaire

Ce soir, j'ai opté pour un peu de renfort musculaire avec près de 45 minutes de vélo elliptique. C'est une alternative agréable pour avoir un effort physique complet (jambes et bras) et faire un minimum d'endurance.

Je profite de la séance pour me regarder un petit film (généralement, je vois donc en deux fois le film en entier !) et cela double le plaisir.

Mieux, en mettant un film en anglais, je fais en plus travailler mon oreille pour entretenir mes compétences linguistiques. Trop fort.

Le modèle que j'utilise est un Proform du type de celui-ci :

 

Pour finir, j'ai fait 4 séries de 25 abdos, juste pour le fun !

Demain, si j'ai le courage, je vais au boulot en courant ...

Deux Zessentiels pour le prix d'un : montre GPS Cardio et logiciel de suivi et de planification

Aujourd'hui, c'est repos. Alors je me lance dans un petit billet sur les outils Zessentiels pour bien s'entraîner et pour optimiser sa course.

Tout d'abord, la montre GPS/cardio.
Il y a quelques années, ce type de matériel était cher (plusieurs centaines d'euros) et peu répandu (principalement chez Garmin, ou Polar). De plus, c'était soit très gros et lourd, soit morcelé pour la fonction GPS (la montre d'un côté, le capteur GPS sur la chaussure ou sur un brassard de l'autre).
Heureusement, la technologie et la concurrence sont passées par là et maintenant il est possible de trouver des modèles grand public à environ 150 euros (Decathlon).

Maintenant, à quoi tant d'électronique peut bien servir pour un sport où il est prétendu qu'un short et des chaussures suffisent presque pour se lancer ?

Cela sert à maîtriser son effort, optimiser son entraînement ou sa course, suivre ses améliorations.



Ainsi, le cardio servira à évaluer notre forme physique (utile lors d'un test VMA, lequel servira à programmer ses entraînements ... tout est lié) ... et à ne pas aller au delà de nos moyens lors d'une course. La santé est plus importante que la recherche de la performance.
De même, le GPS va nous guider dans la gestion de notre rythme pour ne pas "se griller" lors de la frénésie d'un départ, et pour tenir la vitesse optimale pour laquelle nous nous sommes entraînés durement.
De plus, certains modèles proposent même de programmer les séances et de les lancer une fois sur le terrain. La montre devient le coach idéal.

Personnellement, j'utilise une Garmin Forerunner 405. C'est un bon modèle, même si je regrette le mode de fonctionnement tactile (pas toujours facile à manœuvrer) et le transfert de données par ondes plutôt que par câble USB.







Pour aller encore plus loin, il faut maintenant un logiciel de suivi et de planification.
En utilisant un tel produit et en le couplant sur votre montre GPS/cardio, vous allez pouvoir enregistrer vos sorties, suivre vos progrès et l'état de votre forme physique, planifier les prochaines séances, tracer via googleearth vos parcours, ...
Les paramètres sont multiples et on s'en donne à cœur joie.
C'est vraiment utile.

J'utilisais le logiciel fourni avec ma montre mais j'ai découvert un autre produit plus abouti : Sporttracks.

La version 3 est très facile et très complète. Je l'ai trouvé sur le net sans la moindre difficulté.

Pour vous convaincre de la puissance du logiciel, voici un exemple de ce que vous pouvez trouver à l'écran : chaque icône cache des fonctions et l'analyse à posteriori devient facile et instructive. Je recommande ... mais bien sûr, n'hésitez pas à me faire découvrir mieux si cela existe.

Voilà pour aujourd'hui. 

Et ce sont donc deux Zessentiels de plus dans la liste. A bientôt pour en aborder un autre : le short ou le cuissard ?