dimanche 28 août 2011

Et c'est parti !

Aujourd'hui commence officiellement le programme de mon entrainement pour le marathon de Venise (8 semaines à raison de 4 à 5 séances par semaine).

La sortie du jour a été douce avec 15 km en 1h35 avec le club. Les hostilités commencent vraiment dans la semaine avec quelques fractionnés de mise en conditions ...

Au rayon des bilans, la semaine passée a été honorable avec 3 sorties d'une heure chacune à une vitesse de 12,5 à 13 km/h. Et pour varier les plaisirs, j'ai ajouté un peu de vélo pendant 50 minutes à bon rythme  (>30 Km/h sur le plat et 25 km/h de moyenne à la fin).

J'espère que je ne vais pas me blesser pour ne pas avoir fait tout çà pour rien ...

lundi 15 août 2011

Mes Zastuces : gestion des envies pressantes

Un des ennemis du marathonien est "le besoin pressant et incontournable" d'aller se soulager. Personne ou presque n'y échappe, pour la bonne et simple raison que lors des dernières heures, une grande quantité d'eau est absorbée et que le dernier repas spécifique remonte à environ 6heures ... Et comme le marathon va durer "un peu", il falloir à un moment gérer !

Il est évident que l'égalité homme femme ne s'appliquera jamais dans ce domaine car il est beaucoup plus facile pour le prétendu sexe fort de faire une pause. Désolé !

Néanmoins, pour les uns comme pour les autres, il faut s'y préparer : anticiper, planifier, optimiser.




Anticiper tout d'abord en prenant toutes (je dis bien toutes !) les occasions de se "détendre" avant le départ. Le plus évident est de faire la queue aux cabines généralement mises en place par les organisateurs. Il y a du monde mais peu importe. Ne stressez pas à l'idée de vous mettre tardivement dans les starting-blocks : vous avez (normalement sur un grand marathon) une puce au pied et peu importe que vous soyez devant ou non, le chrono ne démarrera pas tant que vous n'aurez pas franchi la ligne. Autant privilégier le confort et se soulager.






Pour les hommes, il y a également une solution bien connue des coureurs : la bouteille de lait. Ouverture large pour les stressés maladroits, contenance suffisante, opacité du contenant pour ne pas se taper la honte, facilement manipulable sous le poncho/sac poubelle du départ (discrétion !) ... Un must ! Je l'ai déjà expérimenté 2 fois et ce fut un vrai plus.





Mais tout ceci ne fonctionne que pour une "petite envie". Si c'est plus "grave" : la cabine s'impose !


Planifier et optimiser pendant la course un éventuel arrêt. Si vous connaissez le parcours, ce sera évidemment plus simple, sinon, prenez le temps de regarder un plan ... et sachez à peu près où se trouve les zones favorables (cabines WC sur le parcours, bois, ...). Cela enlèvera une partie du stress lorsque l'envie montera en flèche et que vous vous poserez la question : quand vais-je pouvoir m'arrêter ? Et là, à cogiter et à se rajouter une petite douleur, le marathon devient tout de suite plus dur.
Sur Paris, j'ai repéré mes premières pauses possibles et je fais en sorte de m'y arrêter quoi qu'il advienne car je sais que l'endroit est favorable ... alors que plus tard, ce ne le sera pas forcément. C'est du temps de gagner.
Au fait, prévoyez un ou deux mouchoirs dans votre tenue ou ceinture porte-bidons ... çà peut servir.

Pour la petite histoire, lors de mon premier marathon de Paris, j'étais en petite souffrance intestinale et je voyais mal comment m'en sortir en pleine ville sans les cabines. Puis le parcours s'est "verdi" avec des espaces plus propices à un arrêt. Sauf que beaucoup de monde s'y arrête aussi. Finalement, j'ai décidé de m'arrêter quelles que soient les conditions et ... j'ai partagé un bosquet avec une coureuse. Moment étrange de gêne et de soulagement en même temps. Mémorable !
Et la course a repris dans de bien meilleures conditions et j'ai fini en 3h30 comme prévu.
Atteindre ses objectifs tient parfois à pas grand chose...

Premier gros bilan

Voilà maintenant un peu moins de 2 mois et demi que j'ai ouvert ce blog et je propose de faire un petit ... non un GROS bilan de ce tout ce que j'ai entrepris depuis le 5 juin 2011.

Mon bilan sportif est le suivant : 269 km parcourus et 267 km de VTT (marrant de voir que c'est très proche !).
C'est un peu en dessous de mes espérances mais cela reste tout de même acceptable pour bâtir un petit socle d'endurance. Il faudra être sérieux sur les 8 semaines de préparation.

Mon bilan de blogueur est le suivant : plus de 50 publications, deux échecs pour me faire enregistrer chez Ad Sense, près de 1000 lectures, un blog en devenir ...

Pour ce qui est d'Ad Sense, Google encaisse plus facilement l'argent qu'il ne le distribue. C'est comme çà.
On leur génère du flux (même modeste) et ensuite, sans avertissement ni seconde chance, tout grain de sable leur est favorable : il garde les gains (exemple : attention aux clics jugés incohérents sur les pubs car c'est un motif de rejet ... maintenant, si vous voulez priver un blog de revenus , vous cliquez 10 fois sur une pub et hop, c'est fini pour lui !).
Je cherche une autre régie.

Je pense sérieusement à créer un site plus tard mais il faudra le préparer longtemps en amont pour qu'il soit prêt et abouti lors du lancement. A suivre peut être.

Bonne prochaine lecture et un petit encouragement pour le marathon de Venise ne nuisant pas, je me ferai un plaisir de remercier tous ceux qui m'en enverront un.

Sportivement.


Le voyage pour Venise est bouclé

Alors que la phase d'entrainement spécifique pour le Marathon de Venise va débuter prochainement, tous les préparatifs du voyage sont bouclés : voyage aller et retour et hotel.

En effet, j'ai validé le voyage aller la semaine passée : train wagon lit (pour 2) à 280 euros tout de même. Départ le jeudi soir et arrivée le vendredi matin à 500 m de l'hotel.



Pouvait-on trouver moins cher et plus rapide (Easyjet) ? Oui ! Sauf que les horaires étaient incompatibles de nos plannings donc on a dû composer avec nos contraintes et tant pis pour les 80 à 100 euros de plus.

Ce n'est pas si grave.

A suivre.

dimanche 7 août 2011

La montée en puissance

Cette semaine aura marqué un tournant dans la préparation car le temps presse désormais pour capitaliser avec les 8 semaines de travail spécifique avant le marathon de Venise.

Malgré la reprise du travail, j'ai fait l'effort de courir, même quelques km pour gagner encore un peu de foncier.

Résultat, une bonne fatigue saine et 47 km (sans compter le footing léger de ce dimanche soir d'environ 7 km, pour dérouler.

Il faut dire que le programme axé sur une durée de 3h30 est sensé débuter le 28 août ... soit dans à peine 3 semaines. il ne faudra pas forcer d'ici là mais pas mollir non plus.

L'échéance approchant, ce devrait être motivant.

A suivre